Lorsque la musique joue, toute mon attention est dirigée vers l'intérieur. Accaparée par les vibrations et les ricochets ondulatoirs, ma sensibilité décompose et recompose la trame auditive devenue aussi palpable qu'une éclaboussure lumineuse, en un jeu étourdissant pour la curiosité. L'incapacitante mémoire des sensations me libère de tout mouvement.
Cela étant dit, pour rien au monde je ne troquerai mes albums d'Arcade Fire.
Hum it sounds good...je vais creuser un peu la question car ce son là m'interpelle.
RépondreSupprimerbon après on a toujours un peu l'air bête dans ces moments là, suspendu aux sons tel un penseur version Rodin...tiens si ça tombe il écoutait de la musique et ne pensais à rien.